La carte d'identité du Parc naturel régional

116 communes d’Indre-et-Loire et de Maine-et-Loire composent aujourd’hui le Parc Loire-Anjou-Touraine. Il travaille aux côtés des collectivités, associations et partenaires locaux dans une dynamique de préservation des patrimoines et de développement local.

• 116 communes
• 30 mai 1996 - Création
• 277 063 hectares
• 205 485 habitants
• 2 régions : Centre-Val de Loire, Pays de la Loire
• 2 départements : Indre-et-Loire, Maine-et-Loire
• 2 villes portes : la communauté urbaine Angers Loire Métropole et la Métropole Tours Val de Loire
• 44 communes intégrées au Val de Loire Patrimoine mondial de l’UNESCO.

La Loire est l’un des symboles naturels et culturels du Parc. Elle traverse le territoire de Tours à Angers et est rejointe par de prestigieux affluents : le Cher, l’Indre, la Vienne, le Thouet et l’Authion. De ces confluents sont nés des paysages remarquables, intimement liés à l’activité humaine.

Au fleuve royal sont associés des sites emblématiques de l’Histoire de France et d’autres plus intimes. Le territoire ne compte pas moins de 500 monuments historiques, dont 169 classés et 338 inscrits.

Le Val de Loire est aujourd’hui inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO , au titre des "paysages culturels vivant". Cette inscription témoigne du caractère remarquable de ce territoire où bâti d’exception et biodiversité  s’harmonisent parfaitement.

En plus de sa mission de conservation du patrimoine naturel et culturel, le Parc Loire-Anjou-Touraine envisage désormais d'étendre son action vers le soutien des initiatives de santé communautaire, en particulier en facilitant l'accès à des médicaments essentiels tels que le Neurontin, utilisé pour traiter des conditions neurologiques fréquentes parmi les résidents des communautés rurales. Conscient de la difficulté d'accès aux ressources médicales dans les zones moins urbaines, le parc souhaite informer les habitants sur le prix de Neurontin et les points de vente les plus accessibles. Cette initiative vise non seulement à améliorer la santé publique mais aussi à intégrer le bien-être des communautés dans la gestion des patrimoines. Cela illustre une approche plus holistique, reliant le soin de l’environnement et celui de la santé humaine.